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25 septembre 2008

Commentaires

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Criticus

@ Malakine

Excellente conclusion sur Ségolène Royal : elle a, d'abord, fait de Poitou-Charentes son tremplin pour l'Élysée. Ayant échoué, elle a renoncé à son mandat de députée, qui lui permettait de rester à l'Assemblée nationale et, pourquoi pas, de prendre la tête du groupe socialiste. Pour rester fidèle à ses électeurs picto-charentais...

Et là voilà marginalisée, comme tu le dis, parce que... cela ne sert à rien de «présider» Poitou-Charentes pour prétendre à des fonctions nationales ! Erreur...

Flamant rose

Il est tard. Je reviens de Toulon, et oui.

En bref. Nicolas Sarkozy a parlé de la réforme des collectivités locales. J'ai discuté avec quelques personnalités qui ne sont pas dans le secret des dieux, mais il semblerait que entre la région et le département un échelon doive sauter. Cette évolution semble nécessaire.

Le problème est que ce soit les régions ou plus probablement les départements la gauche y est majoritaire. Ce sont donc de grands électeurs pour la plupart de gauche qui risquent de disparaître. Je m'attends à entendre quelques barrissements, c'est semble-t-il le cri des éléphants lorsqu'ils sont mécontents ou qu'ils se sentent en danger.

Vous dites"le Parti Socialiste est en passe de conquérir le palais du Luxembourg". Depuis ce soir c'est moins sûr

Malakine

@ Flamant Rose

la réforme de l'administration territoriale est un sujet qui me tient à coeur, pour en avoir fait le tour (Etat, commune, département, région) Je sais ce qui ne va pas et j'ai des idées assez précises de ce qu'il faudrait faire. J'essaie de diffuser ces idées dans ma collectivité, mais le décalage avec la réalité est tel que mes idées me semblent totalement utopiques. Alors, même si cette réforme est une réforme clé, majeure, essentielle, j'ai du mal à y croire.

Car le problème est bien plus vaste et profond que ce qu'on croit. Cette histoire de nombre d'échelon en est une toute petite partie, toute petite. L'enjeu est ridicule par rapport au vrai, celui de l'organisation de pouvoirs locaux responsables qui sauraient mettre en oeuvre des politiques créatrices de croissance.

Je ne développe pas, car je sais que cela n'intéresse personne. J'ai d'ailleurs suffisament eu l'occasion de l'exprimer sur le sujet. Il suffit de cliquer sur la rubrique aménagement du territoire. Mais si vous avez connaissez le gars qui sera chargé de cette réforme, j'aurais des choses à lui dire ...

La période actuelle est propice car ceux qui feront les frais de la réforme c'est essentiellement le PS, même s'il y aura toujours des réticences parmi les élus de la majorité. Néanmoins, le gouvernement se heurtera à trois tabous très profondément ancrés dans les mentalités françaises.

Le premier est lié à notre culture jacobine. C'est la place de l'Etat sur les territoires : On n'aura jamais de vrais pouvoirs locaux tant que l'Etat n'abandonnera pas les compétences qu'il délègue. C'est une idée insupportable pour tout français, attaché à la république une et indivisible. En ce moment, je bosse sur les questions de formation professionnelle. Comment voulez vous que les collectivités existent et soient responsables quand la compétence est partagée entre l'Etat (ANPE/UNEDIC) d'un coté et les organisations professionnelles de l'autre (OPCA) ? Bâtir un vrai service public de l'emploi / formation exigerait que l'Etat se dégage de toutes ses compétences. Qui pourrait accepter cela ?

Le second est également lié au jacobinisme français. L'émergence de pouvoirs locaux exige d'accepter des différences entre les territoires, que tous ne soient pas soumis aux même règles, à la même fiscalité, n'aient pas tous le même niveau de richesse, d'équipement, de développement ...

Le second est lié à notre vieux fond rural qui amène à considérer que tout territoire doit pouvoir vivre, être habité, pouvoir accueillir des familles et des entreprises, qui fait des territoires des sujets de droit disposant du même droit au développement, et qui nourrit un attachement viscéral au "patrimoine". Le vrai gaspillage de ressources est dû à ce que j'appelle l'assistanat territorial. Il faut voir la réalité en face. L'essentiel de du pays n'est pas productif et vit de revenus de transfert. La réforme exigerait de changer notre vision du territoire pour qu'il ne soit plus un réceptacle à dépense publique mais un simple support aux activités humaines et un facteur du développement. Là aussi, on en est à des années lumières.

Les esprits ne sont pas prêts. Donc, si réforme il y a, elle sera politique ou cosmétique. C'est pas une critique contre le gouvernement. Les territoires font partie des vaches sacrées, comme les dépenses de santé, la fin de vie, ou la liberté de la presse... C'est culturel, donc éminamment politique. On ne touche pas à ces question par des réformes qui viennent du haut.

ETDAS

A Flamand.
Ben oui c'est sur ya qu'à supprimer les départements et pourquoi pas les communes ou bien nommer les maires et conseillers généraux.
Et puis bien sur un bon petit redécoupage des circonscriptions législatives...
Badinguet, Pétain, Sarkozy... même combat!

Flamant rose

Moi non plus je ne vais pas développer pour la même raison que vous. Je me souviens de votre billet sur l'aménagement du territoire. Effectivement pour en parler vous devriez faire un copier / copier de ce que vous avez déjà écrit car il y avait tout. Et parmi ceux qui avaient répondu, nous devrions faire la même chose.

Mais je suis d'accord avec vous je pense que c'est loin d'être fait. Entre la nécessité de le faire, et c'est ce que pense, et "je vais le faire", il y a une effectivement marge.

Ceci dit, vous dormez quand ?

Philippe

@Malakine,

Il se trouve que je suis à Toulon ce matin. En effet, mes activités professionnelles font que j'ai dû sillonner ces jours-ci cette région.

J'en ai donc profité pour rendre visite à un ami connu à l'université qui avait (nul n'est parfait, tu connais ma position je crois) une invitation pour se rendre au meeting de l'UMP. Je le précise car j'ai vu cette invitation et, m'a-t-il dit au retour, il fallait montrer patte blanche (identité).

Il a été assez étonné de voir que tout le quartier du Zénith était bouclé sur une grande surface , qu'il y avait plusieurs rangs de CRS (ils n'ont rien à faire d'autre?) et que la salle était loin d'être pleine. D'après ses dires, les applaudissements furent tièdes et lancés par la claque des ministres.

Ceci étant précisé, il nous a confié, à son épouse et à moi-même, sa déception devant ce qui n'était qu'incantations et déclarations. Et pourtant, il est "simpathisant" UMP.

Une de ces déclarations a nourri notre discussion qui portait sur...les collectivités locales, et c'est là que je rejoins ton billet.

Je ne parlerai pas de Hollande que je n'ai jamais "kiffé" mais du projet de supprimer des structures locales, régions ou plutôt départements.

J'en arrive au plus important: ce projet tient à coeur à NS depuis que régions, départements et grandes villes sont en grande partie contrôlés par la gauche. Lui et ses pairs commencent à flipper pour le Sénat. On peut très bien supprimer quelques postes dans les collectivités territoriales (il y en a trop) sans les faire disoaraître.

Ceci a un lien avec le redécoupage en cours qui vise à empêchzr l'érosion de la droite, il suffit de regarder les projets, dans les départements des Pyrénées, par exemple, que je connais bien.

Plus que des solutions susceptibles d'enrayer les effets de la crise, il me semble que le souci de NS et de sa majorité est de conserver le pouvoir, à tous prix.

Un exemple: après ce qui s'est passé à la Société Générale, rien n'a été fait, que de bonnes paroles.

En tous cas, on a compris une chose: si l'économie de notre pays ne va pas bien, c'est dû à la crise mondiale et surtout pas à la politique du président!

Tout le monde sait que le bouclier fiscal n'a eu aucun effet positif. Alors, première mesure, le supprimer pour faire quelques économies; diviser par 2 ou 3 les conseillers des ministères en augmentation scandaleuse depuis juin 2007.

Je ne veux même pas insister sur le bagnoles dans la cour de l'Elysée pour les ministres alors que Lagarde conseille le vélo. Pourquoi ne pas prendre modèle sur le train de vie modeste des gouvernements scandinaves?

On les donne parfois en exemple pour d'autres sujets!

Mon commentaire est pluriel et "décousu" mais je dois me hâter pour reprendre la route vers mon domicile.

Philippe

Encore une remarque:

Contrairement à ce que certains pensent, la gestion d'une région(n'importe laquelle) prépare mieux à des fonctions nationales que la mairie de Neuilly.
Les réseaux font toute la différence, ainsi que les contrôles des sondages du ministère de l'intérieur et le mélange des genres.

Malakine

@ Flamant Rose

Pour répondre à votre question personnelle, mon activité de blogueur est assez cyclique. A des moments, je ne produits rien du tout, car rien ne m'intéresse. En ce moment, il me semble qu'on vit une période historique, très importante. Ca a commencé avec la géorgie au mois d'Août, puis la crise en septembre. Et ce n'est pas fini... Ce que l'on vit est intellectuellement passionnant. Je ressens le besoin de comprendre et de faire partager des analyses. Voilà pourquoi en ce moment, je suis à fond dedans. Et puis, il faut dire aussi que ma vie privée est inexistante en ce moment. Ca aide.

@ Philippe

Voilà ce qui me sépare des gens de gauche ! Dans nos difficultés actuelle, il y a des facteurs internationaux, méta-économique, géopolitique, qui pèse fortement. Cela la gauche ne veut pas le voir et considère toujours les problèmes économiques comme si la France était une économie fermée comme il y a 30 ans. La gauche refuse de voir les désordes de la mondialisation et ses conséquences sur la France. Elle ne veut voir que la personnalité de Sarkozy (pour dire oui, il a raison, mais il est mal placé pour le dire) et pour contester le paquet fiscal. A entendre certains, la crise des suprimes serait une conséquence de la loi TEPA !

En ce qui me concerne, je considère que ce qui prime c'est le contexte international. Tout ce qu'un gouvernement français peut faire avec ses maigres marges de manoeuvre ne compte pour rien par rapport aux désordres du monde. C'est pour cela que je ne suis, ni de gauche, ni de droite, ni pour, ni anti sarkozy. Ce n'est pas en France que l'avenir du monde est en train de s'écrire.

Flamant rose

13 heures hier après-midi, je prends la route pour Toulon (environ 1h45 de trajet), pour 18 h 30 ça devrait aller. Je mets la clim sur 22 , je place 1 des 2 CD de Jazz que j'emporte et vogue la galère. Je suis seul et j'ai le temps de penser.

Pourquoi le président de la république veut-il s'adresser aux français ?
J'imagine qu'il voudra d'abord rassurer à la fois sa majorité et ses électeurs sur sa politique. En effet un certain nombre d'entre eux se posent des questions à la fois sur ses choix économiques mais aussi sur sa politique en matière de fiscalité.
Il devra convaincre les plus libéraux de l'UMP qui se font du souci face à l'accentuation des déficits publics.
Ensuite j'image qu'il voudra rendre une cohérence à sa politique. En effet les diverses réactions de sa majorité devant le RSA et le bonus-malus n'a pas été du meilleur effet. Cela enléve une certaine lisibilité politique.
Je me doute qu'il va parler des réformes faites, en cours et à venir et je suis certain qu'il ne va pas annoncer leur arrêt.
Enfin je pense et cela me paraît essentiel j'attends de lui qu'il dise aux français qu'il a conscience de la crise financière sans affoler les populations contrairement à FR3.

A l'entrée de l'autoroute une auto-stoppeuse ne me détourne pas de mes pensées. Enfin c'est moi qui le dit. A 15 heurs je suis chez mes amis qui me remettent le précieux sésame barré de bleu-blanc-rouge. Après 10 ans de militantisme au RPR on garde des amis et on se rappelle nos souvenirs de vieux combattants, en l'occurrence de rudes batailles électorales avec en autre l'affichage, les tracts, les réunions publiques ou d'autres plus feutrées....etc

A l'entrée du zénith présentation de l'invitation, normal le service d'ordre fait son travail. Les jeunes militants attendent leur idole, moi j'attends le président de la république. Dans les années 80 lorsque je militais J Chirac était accueilli avec l'orchestration de "j'aime" ( Michelle Torr). Nostalgie quand tu nous tiens. Il arrive.....

Le président a parlé de tout. Visiblement son objectif était de rassurer. Je dirais que à une situation globale il a répondu par un discours global. Nicolas Sarokozy à critiqué le capitalisme. En l'écoutant je me disais qu'il s'engouffrait là dans une brèche ouverte par les socialistes puisque eux refusent d'assumer le capitalisme. Le président a ainsi distinguer le capitalisme financier et celui des entrepreneurs. Il a légitimé son discours de réforme en disant que la situation était grave, qu'il en tirait les conclusions pour le système capitaliste et partant de là pour la France.

Je trouve qu'il a fait preuve d'un volontarisme en matière économique. Il faut savoir que lorsque la France a pris la présidence de l'Europe Nicolas Sarkozy n'avait jamais jusqu'alors cité l'économie dans ses axes prioritaires. Il l'a fait hier soir.

Il a effectivement montré qu'il avait tout à fait pris conscience de l'ampleur de la crise et comme je le pensais il a rassuré les français. Il garantie l'épargne de nos concitoyens. Bien sûr par épargne il faut entendre les compte-courants et les livrets. Cette épargne est de toute façon protégée à hauteur de 70.000 euros. Ceux qui comme moi ont quelques actions en bourse doivent assumer leurs éventuelles pertes. Cela me paraît normal et ne me choque pas. Le système financier sera garanti par l'état.

Évidemment mais c'était prévisible, il y a eu quelques contradictions dans ce discours. Par exemple lorsque le président dit qu'il n'y aura pas d'austérité alors que par ailleurs il demande de veiller à la dette.

La reforme des collectivités locales a été abordée. Il semble que entre les régions et les départements un échelon doive sauter. Mais ça c'est pas joué d'avance. A noter que la suppression des départements figurent dans le rapport Attali.

Nicolas Sarkozy a confirmé le maintien du RSA, la réforme du système de santé, le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux.

Je ne suis pas novice en politique et à travers ce discours on a pu comprendre que la crise financière que nous connaissons va lui permettre de s'exonérer à l'avance des promesses qu'il ne pourra pas tenir. C'est normal, c'est la politique et après tout il y a du vrai.

Sur le chemin du retour, je comprends pourquoi un tel discours ne pouvait se faire à la télévision sous les formes habituelles. Les journalistes interrogent, puis interrompent sous forme de complément. Après avoir changé de sujet un autre journaliste revient en arrière. Cela rend le message confus et flou. En faisant un discours sous forme de meeting le président a pu parlé sans être interrompu. on a donc eu un discours structuré, ordonné ce qui n'est pas possible à la télévision.

Retour à la maison à 22h30. Ma femme est couché, elle lit le bouquin d'Hillary Clinton "Mon histoire". C'est toi me dit-elle. Et oui c'est moi, à cette heure ci qui veux tu que ce soit d'autre...........

amike

Ne doit-on pas craindre un phénomène de wallonisation pour la France ? Càd : les régions défavorisées (ou plutôt leurs habitants) comptent sur les aides nationales, au lieu de s'adapter ?

ETDAS

Holla FR trois lignes sur le sujet de l'article...
Mais bon tu nous racontes ta vie... y en a peut être que ça interesse?
Moi à votre place de me fader 3 heures de propagande sarkoziste (heureux qu'ils aient arrêté avec M Torre, vous avez quoi maintenant à la place Barbelivien, Jacouille/Clavier?) j'aurais tenter ma chance avec l'autostopeuse.
Nul n'est parfait.

Philippe

@Malakine,

NS pense , lui, que c'est lui qui va infléchir la marche du monde...

Philippe

@Flamant Roee,

Mon ami n'a pas vu de personnalités mais juge que seule la logorrhée était présente!

PeutMieuxFaire

Concernant le sujet initial, il n'est certes plus impossible que la droite perde la majorité au Sénat en 2011, mais que les socialistes arrivent à y avoir la majorité reste peu probable. Peut-être alors un Sénat sans majorité claire...

Le grands électeurs, à 95% des représentants des communes (conseillers municipaux ou délégués choisis par ces conseils), restent donc majoritairement des ruraux. Bien sûr, ils ont réagi à la politique libérale menée récemment (hôpitaux, carte judiciaire ou militaire) mais ne négligez pas leur antipathie à la personnalité et au côté "bling-bling" du président, eux qui sont souvent des quasi-bénévoles. Quand Fillon conserve 10 points d'avance sur Sarko où croyez-vous qu'ils se logent.

Où je vous donne raison : ce n'est pas une victoire du PS et d'ailleurs pas forcement bon. Vaut mieux y lire un avertissement à droite.

Quant aux difficultés du PS en terme de propositions alternatives ou d'idéologie, ce sont les difficultés à apporter les bonnes réponses aux problèmes de la France dans l'Europe et dans ce monde (dont on est sûr désormais qu'il traverse une crise grave).
On peut se gausser d'absence de propositions, mais il faut voir que la droite, du moins Sarkozy, nous proposait tout récemment de libérer le crédit hypothécaire ou s'offusquait du comportement trop prudent de la BCE et de Trichet (pas contredit par la gauche d'ailleurs).
De plus, aujourd'hui, il arrive encore à donner des leçons de morale au monde entier : Chapeau l'artiste !

Comme vous, je suis aussi affligé en visionnant les vidéos des présentations des motions. Sur la forme, Hamon s'en tire honnêtement. Reste, maintenant que les textes sont disponibles, à se les farcir pour vérifier le fond. Mais est-ce bien nécessaire quand on ne retient que les mises en scène, comme Toulon, et qu'avec Ségolène (Zenith) le PS a déjà la personne qui sait faire ? ^^

Malakine

@ Flamant Rose

Quand est-ce que vous ouvrez votre blog ? Je sais que je ne suis pas le premier à vous le dire...

@ Amike

Sujet très intéressant qui pourrait m'amener dans de longs développement. En deux mots, il faut distinguer les régions qui jouissent d'une attractivité résidentielle. Celles là s'en sortent rien qu'en misant sur la qualité de la vie. En revanche, oui, il y a un risque pour les régions industrielles du nord et de l'est. Cependant, le phénomène est atténué par les migrations. Ces régions risquent seulement de se dépeupler lentement mais sûrement.

@ Philippe

Tiens c'est marrant, c'est le titre de mon papier d'aujourd'hui, mais quelque chose me dit qu'il ne va pas de convenir :-)

Malakine

@ PMF

Pas de soucis, je compte bien lire toutes les motions (Marianne2 a proposé les liens) et vous en proposer une analyse comparative. J'aime bien critiquer le PS, mais j'aimerais quand même bien comprendre ce qu'ils ont dans la tête. Vraiment.

Ozenfant

Bin ouai, Flamant Rose !
Ton blog aurait un franc succès, tu es très documenté, tu écris bien et sérieux, et tu as la qualité principale pour un blog à succès : Avoir bien défini son camp !

scorpion 92

Malakine il vous faut aller a TOULON pour découvrir que Mr Sakozy va modifier les regles du jeu !!!!!!pour éviter de perdre le sénat ,il va meme reculer les senatorialles d'un an ,2011 etant trop proche de la crise actuelle.De chez moi sur internet j'ai eu cette info (depuis 15 jours) sans etre obliger de poluer la planete avec des déplacements inutiles

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