L'histoire retiendra peut-être d'ailleurs l'année 2008 comme le véritable point de départ du 21ème siècle. L'année aura en effet été marquée par deux évènements historiques : La guerre d'Ossetie et le déclenchement de la crise financière qui annoncent à la fois la fin de l'empire américain, de la globalisation économique et d'une séquence de trente ans dominée par l'individualisme et le libéralisme.
En 2009 s’ouvre une nouvelle ère et celle-ci commencera par un indescriptible chaos.
Plutôt que de tenter une synthèse de l'année qui serait un exercice fastidieux aux conclusions discutables, il me semble plus ludique de se projeter en 2009 pour en imaginer les évènements et les évolutions. L'exercice est hasardeux mais moins que celui, totalement fou, dans lequel s'est lancé Laurent. Lui, c'est déjà 2017 qu'il a entrepris de prévoir !
Certaines des prévisions qui suivent sont le fruit d'analyses, d'autres relèvent de l'intuition, du pari ou de la pure spéculation. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire ces spéculations que j'en ai eu à les écrire. Alors voyons ce qui nous attends - ou ce qui pourrait nous attendre- en 2009 !
La France relativement épargnée par la crise
La France apparaîtra relativement épargnée par la crise. Ses défauts structurels, autrefois tant stigmatisés, joueront comme autant de protections (poids du secteur public, Etat providence, importance de l'économie résidentielle) Certains secteurs d'activités et donc certaines régions souffriront fortement (automobile, tourisme) mais dans l'ensemble, comparée à la situation en Allemagne et l'Espagne où le chômage explosera dangereusement, ou à l'Angleterre où le niveau de vie s'effondrera, la France apparaîtra comme bénie des Dieux.
Naturellement le gouvernement se félicitera de cette situation relativement bonne qu'il imputera à la vigueur de ses plans de relance. Mais plus globalement, cette relative bonne tenue de l'économie française (peut-être provisoire) conduira à réfléchir à la spécificité du « modèle français » et aux moyens de l'approfondir. Pour la première fois depuis longtemps, les économistes et les intellectuels redécouvriront leur pays pour en parler enfin positivement.
Une situation économique mondiale totalement chaotique
Après les semblants de concertation de la fin 2008 (G20…) l'année 2009 marquera le retour au chacun pour soi. Les dévaluations compétitives à base de baisse des taux constitueront une nouvelle forme de ce protectionnisme tant honni.
La destruction de valeurs continuera à plein. Toutes les richesses créées par le surendettement et l'émission de monnaie virtuelle dans l'économie financière au cours de la dernière décennie continueront de s'évaporer, les bourses de plonger, les bilans de fondre comme neige au soleil.
Pour se refaire le monde financier pressurera encore plus l'économie réelle pour obtenir toujours plus de dividendes. Si la compression des salaires et les délocalisations resteront relativement bien acceptées par les populations, la publication des résultats des multinationales de 2008 et de 2009 suscitera un grand émoi. Les grandes entreprises apparaîtront alors aux yeux de tous comme des exploiteurs de misère et les profiteurs de la crise. Les Etats réagiront en instaurant une progressivité de l'impôt sur les bénéfices des sociétés, ce qui accroitra encore un peu plus la pression du capital (duquel l'Etat se rendra alors complice) sur le travail, sans aucun changement notable pour la rémunération des actionnaires et la logique du système.
Au final la crise ne fera que s'approfondir en 2009. La demande globale continuera de se contracter, avec des conséquences directes et inévitables sur l'appareil productif. Les Etats continueront de s'endetter pour injecter de l'argent dans l'économie réelle et la sphère financière poursuivra son atterrissage dans le réel en continuant à détruire la valeur qu’elle avait cru avoir créé.
Les Etats apparaitront totalement désemparés et désarmés face à crise, sans aucune solution autre que celle de limiter la casse - ce qu'ils feront d'ailleurs assez bien – Ni les politiques, ni les économistes ne sembleront réellement comprendre ce qui se passe et savoir comment en sortir. L'opinion européenne, qui globalement a perdu l'habitude de croire en la politique, se résignera à attendre des jours meilleurs, en se laissant bercer par les discours lénifiants annonçant la reprise pour bientôt.
Des pays au bord de l'explosion :
Alors que tout le monde s'attend à des révoltes de type social, la crise se manifestera surtout dans le monde par des crises nationales. La globalisation a en effet non seulement dissous les classes sociales mais aussi plus profondément, les Etats et les communautés nationales.
La première victime de la crise sera naturellement la Belgique, dont la fracture identitaire déjà insoluble ne pourra être qu’aggravée par la crise. Après les Flamants, ce sont les Wallons qui commenceront à parler de scission. La question du rattachement à la France sera une question qui sera posée dans le débat public français. Après avoir refusé la question, Sarkozy se fera finalement le héraut de la « réunification française » histoire d'embêter les socialistes favorables à l'intégration belge pour de simples motifs électoraux !
L'Ukraine, en situation de banqueroute financière, aggravée par le relèvement par la Russie des tarifs du gaz (on ne peut pas vouloir rejoindre l'occident et continuer à payer les hydrocarbures comme au temps de l'union soviétique) fera un grand pas en direction de la partition. La crise politique entre les différents blocs sera permanente et irréductible. Elle se soldera finalement par des élections législatives anticipées qui consacreront deux Ukraines irréconciliables, l'une à l'est et au sud qui voudra rejoindre la protection russe, l'autre au centre et à l'ouest qui restera attaché à son rêve européen. Les régions russophones déclareront leur indépendance et demanderont leur rattachement à la fédération de Russie, laquelle accueillera la nouvelle avec un plaisir non dissimulé.
Enfin les Etats-Unis eux même s'engageront dans un processus séparatistes. Le dollar qui aura commencé à plonger dès l'accession à la présidence de Obama, fera l'objet d'un run au cours du premier semestre. Tout le monde se débarrassera alors de ses réserves en dollars avant que le billet vert ne valle plus rien. Le mouvement encouragé dans un premier temps par les autorités américaines déclenchera une panique indescriptible lorsqu'il s'avèrera que l'Etat fédéral n'aura plus les moyens de sa subsistance (ne pouvant plus être financé par émission des bons du trésor). C'est alors que certains Etats, particulièrement sinistrés économiquement ou qui n'arriveront pas à se faire à l'idée d'avoir un président noir, feront sécession en conservant pour eux le produit de l’mpôt fédéral. Les Etats-Unis éclateront alors de facto en 50 Etats indépendants, Obama se retrouvant alors dans la situation de Gorbatchev en 1991, à la tête d'une fédération sans substance qui aura cessé d'exister.
L'Europe ne sera pas en bien meilleure situation. Si l'éclatement n'est toujours pas à l'ordre du jour, l'illusion de dynamisme imposé par la présidence française évanouie, les divisions et les divergences de stratégie entre Etats éclateront au grand jour, sans même plus s'embarrasser de formules diplomatiques ! Durant toute l'année 2008, l'Europe communautaire apparaîtra comme une coquille vide, un astre mort, une fiction dont chacun entretiendra le mythe sans plus vraiment y croire. Pourtant paradoxalement, le parlement européen aussitôt élu se déclarera dans l'indifférence générale « assemblée constituante » et engagera la préparation d'une nouvelle constitution.
Un seul pays connaîtra des violences consécutives à la crise : La Chine. Le tarissement des exportations lié à la dépression américaine déclenchera une gigantesque crise de surproduction, avec faillites en cascades et chômeurs en pagaille. Le régime communiste ne tardera pas à être violemment contesté avec des émeutes qui seront réprimées dans le sang, comme en guise de commémoration des 20 ans de l'insurrection de la place Tien an men. Le régime parviendra toutefois à se maintenir au prix de réformes lourdes, tel que la remontée des salaires et l'instauration d'une protection sociale ou la réorientation du modèle économique vers un système plus autocentré.
L'Allemagne qui connaîtra une situation similaire (surproduction et explosion du chômage) fera face à la crise avec un stoïcisme qui fera l'incompréhension de ses voisins. Elle se contentera d'indemniser ses chômeurs et de soutenir ses entreprises avec des aides publiques au mépris des règles bruxelloises. La grande coalition CDU-SPD sera reconduite à l'identique dans une forme de parti unique qui ne dira pas son nom. L'Allemagne se désinvestira à grande vitesse de l'Europe sans pour autant encore engager sa déconstruction. Elle sera sur tous les dossiers une force d'inertie et de refus. Angela Merkel se verra ainsi affubler du sobriquet « Fraulein NEIN ».
La situation politique en France :
Sarkozy littéralement tétanisé par la crainte d'une explosion sociale cessera toute réforme d'inspiration libérale et arrêtera même d’employer ce mot. Finie la dérégulation, la flexibilité du droit du travail, l'exacerbation de la concurrence. Place à la reconstruction des services publics, les grandes infrastructures, la révolution écologique et la consolidation du « modèle français », désormais sacralisé.
Les Français et le monde commenceront à se faire à la personnalité de ce président hors norme. Celui-ci fera d’ailleurs les efforts qu’il faut pour enfin à “faire président”. Son agitation et son activisme resteront toutefois intact, réagissant à tous les faits divers par des déplacements sur le terrain ou des réformes législatives improvisées, toujours dans le sens de l’émotion publique, quitte à être populiste et démago et quitte à en rajouter dans la surenchère sécuritaire.
Dans la continuité de son discours de Charleville Mézière sur la relance, il retrouvera le fil français du colbertisme et du capitalisme d’Etat. Il se découvrira une âme de bâtisseur, dépensant les milliards à jet continu dans la remise à niveau de l'hôpital, des grands programmes de recherche dans les technologies de demain, les lignes de TGV ou de tramway, la rénovation urbaine, la construction d'un Paris-Métropole totalement repensé dans sa structure urbaine. Inspiré par les idées d'un blogueur, il lancera même l'idée de l'édification d'une deuxième capitale dans le centre de la France, projet que l'opposition dénoncera aussitôt comme un délire paranoäique qu'elle surnommera « Sarkocity » ce qui suffira à le plomber.
Grisé par son action diplomatique de 2008 que lui aura offert la présidence de l'UE, il ne saurait renoncer à son nouveau terrain de jeu. Il endossera alors un registre plus traditionnellement gaullien prenant l'habitude de parler au nom de la France. Secrètement, il conservera l'ambition d'être maître du monde, l'homme d'Etat le plus influent de la planète, challenge qui sera devenu possible avec la stérilisation de l'Europe, la déconfiture étasunienne, la crise chinoise et l'autisme allemand. Sarkozy prendra donc des initiatives tous azimut, pour poursuivre la « moralisation » du capitalisme, pour jeter les bases d'une grande Europe avec la Russie, la Turquie et jusqu'au Maghreb, pour consolider l'Union pour la Méditérannée, pour mettre en place une « coopération renforcée » sur les questions économiques autour de la zone euro ou dans la partie latine de l'Europe, et bien sûr, pour réussir la réunification Franco-Belge !
Le PS commencera à se stabiliser. Sa parole publique se fera plus construite et disciplinée. Il sera dominé de plus en plus par Benoît Hamon qui depuis son poste de porte parole donnera l'impression d'être le véritable homme fort du PS. Son irrésistible montée en puissance sera favorisée par un succès plus qu'honorable aux élections européennes dont il conduira la campagne. Hamon se sentira pousser des ailes et avouera penser à la présidentielle de 2012 « pas seulement en se rasant »
Les Européennes conforteront la bipolarisation du paysage politique entre PS et UMP qui tout deux feront de bonnes campagne et les deux meilleurs scores. Bayrou décevra avec un discours mi-chèvre mi-choux qui n'enthousiasmera ni des européens fiévreux, ni des eurocritiques. Dupont Aignan s'imposera dans le paysage avec un discours solide et respecté. Dès l'été, son alliance avec Bayrou dans un pôle centriste et républicain sera à l'ordre du jour avec la perspective d'un ticket pour les présidentielles.
En revanche, Mélenchon avec un discours inaudible et confus ne parviendra pas à s'imposer ni face à Besancenot, ni face au PS. De même, les européennes consacreront le déclin définitif du Front National, incapable de survivre au vieillissement de son leader historique. Globalement, rien ne ressortira de cette élection : Aucun message, aucune tendance, aucune restructuration du paysage politique. Tous les partis diront grosso-modo la même chose sous des formes différentes : Oui à l'Europe, mais une autre Europe. Consolidons le modèle français (ou européen) face à une mondialisation sauvage, inhumaine et destructrice.
Et horizons ?
Horizons continuera sa progression au cours des premiers mois de l’année, notamment grâce à Facebook, ce qui renforcera son coté communautaire et l’ouvrira à d’autres réseaux. Sa fréquentation attendra souvent les 2000 visites par jours pendant la campagne européenne et il ne sera pas rare que des billets enregistrent plus de 100 commentaires.
Cependant, en pleine gloire, Malakine se suicidera et horizons s’arrêtera ,définitivement ,au début de l'été. A la faveur d'une nouvelle déprime ou de la rencontre d’une belle blonde qui l’obligera à tout repenser de sa vie, son auteur pensera avoir été au bout de son projet - et même bien au-delà - avoir déjà tout dit et été au bout de cette folle expérience. Il se dira que,les relations humaines et la vie réelle c’est tout de même vachement mieux.
Néanmoins, après plusieurs mois d'une douce oisiveté intellectuelle, la blonde ou la déprime déjà envolée, il finira par ressentir un manque et de nouveau l'envie d'écrire. C'est alors que Malakine reprendra du service en s'associant à autre chose, un projet collectif dans lequel il ne sera plus qu’un contributeur libre et occasionnel. Il ne ressentira plus le fardeau d'avoir à maintenir en vie quelque chose qui le dépasse et lui a échappé et n'écrira que lorsqu’il estimera quelque chose de vraiment intéressant à dire.
***
Allez, quoiqu’il arrive on s’en sortira ! De toute manière l’essentiel n’est pas dans ce qu’il y a autour de nous, mais dans ce qu’il y a en nous.
En attendant de savoir ce qui nous attend vraiment, je vous souhaite une excellente année à tous ! Qu’elle soit la meilleure sur le plan privé et la moins pire possible pour le reste !
Malakine
PS : Je veux pleins de commentaires suite à ce billet !! S'il vous plaît commençons l'année en beauté. Faîtes moi plaisir : Que tous les lecteurs réguliers et silencieux se fassent connaître et s'expriment. Dîtes nous comment vous la voyez, vous, cette année de tous les dangers, cette première année du nouveau siècle !
Ca c'est de l'argumentaire.
Rédigé par : Boréale | 04 janvier 2009 à 21:24
Prédictions :
La France doit développer ses capacités créatrices tous azimuts.
Dans tous les domaines.
Associations. Fondations. Entreprises. Collectivités. Etat. Mécènes.
Programmes d'aide inter-régions et inter-pays.
On fédère. Et par secteur.
On paye les chômeurs et sans-emplois et emplois précaires.
Si le capitalisme n'assume même pas la consommation, les droites européennes pourront aller se rhabiller dans les tous prochains mois.
L'association du secteur privé et du secteur public, est-ce trop en demander au cerveau humain français ? Puis aux cerveaux européens ?
Un lecteur, d'habitude silencieux.
Rédigé par : Bonne année... | 05 janvier 2009 à 05:19
Bonjour et bonne année,
L'exercice de la prédiction est intéressant et doit être salué car c'est une véritable prise de risque. Habitude bien éloignée des pratiques actuelles.
Je ne suis pas sur de celle concernant Jean Luc Mélenchon car il obligera le Parti Socialiste à être meilleur sur le terrain.
Attention aux blondes pour le 1er trimestre quand même
Adishat,
Rédigé par : Kainto | 06 janvier 2009 à 08:12
@ Malakine
Les courants de pensées font se rejoignés les bienfaiteurs. Tout comme vous, j'envisage le meilleur. J'ai envie de construire et participer à la construction d'un nouveau monde. J'ai fait le voeux d'une forme de "résistance" grâce à la structure du web qui serait le "berceau" de la prise de conscience d'une nouvelle forme de démocratie intéractive, moralisatrice du capitalisme, à fort potentiel anti émeute! Une forme de contre pouvoir puisque globalisante et non destructrice. Une forme de révolution douce en quelque sorte.
Le capitalisme est le "modernisateur" historique. Il ne peut s'auto réguler. On pourrait croire que les citoyens sont en attente d'une forme auto organisée qui leurs permettraient de réformer (et oui encore) "les procédures politiques du systéme culturel capitaliste de façon à rendre possible l'expérimentation décentralisée de normes sociales novatrices." (extrait de christian Arnsperger "la "moralisation" du capitalisme: une approche du problème. L'expérimentalisme démocratique et la coévolution des normes" dans la revue des internationale des sciences sociales edition unesco/eres 185 2005)
Alors peut être qu'effectivement verrons nous en 2009 une myriade de "révoltés éclairés" proposant sur le web leur initiatives idéologiques, mais la "guerre" à l'anti capitalisme est elle déjà terminée? ( n'en déplaise à Besancenot) il va falloir faire avec ou en parallèle!! Les peuples ne voudront jamais la solution radicale et rétrograde anti capitaliste à mon avis. ;-)
En attendant de voir les artistes, je vous salue Malakine
Rédigé par : thomas gandi | 09 janvier 2009 à 15:47
Mon coeur, tes prédictions concernant la blonde sont deja realise avec moi. C`est moi qui est ta blonde adorable que t`aime! Tu me rends heureuse et je veux passer ma vie avec toi!!!
Ta future madame Malakine
Rédigé par : Tatiana | 09 janvier 2009 à 16:50
Woahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.
1ère prédiction réalisée?
Tant pis pour les brunes.
Rédigé par : ETDAS | 09 janvier 2009 à 18:37
salutation
merci pour tes analyses 2009 ,mais des solutions optimistes pour nos enfants,est ce que tu peux les refaires?. lorsque la générationbabyboom qui a fait un holdup mondial sur toutes les richesses de ce monde aura naturellement disparue nos enfants surinformés vont inventés un avenir plus plus humanoecolotechnosocio .
Rédigé par : laurent | 12 janvier 2009 à 20:49
Dans un monde qui se révèle bien moins connu que prévu, les prédictions sont plus des grilles permettant d'analyser et naviguer à vue que des road map décrivant l'avenir. Mais les présenter comme prédictions permet une forme d'enthousiasme probablement utile pour affronter l'inconnu. Comme quoi on a besoin de leurres pour continuer à avancer ou tout du moins à rester dans le flot. C'est une curieuse disposition de l'esprit humain que de faire des plans pour se mobiliser. Heidegger avait envisagé ça...pas que lui d'ailleurs. Was heisst denken ?
Rédigé par : olaf | 12 janvier 2009 à 21:15
Cher Demandeurs,
Je me nomme FRANCK HOOSTER.J'engage à partir de ce jour le pret entre particuliers avec un taux d'intérêt très interessant de 3 à 2.5 %.Je suis à londre pour affaire avec mes collaborateurs.Je crois avoir lu une annonce sur internet ou vous demander un prêt.Si vous êtes toujours demandeur, vous pouvez me joindre à cette adresse :franckhooster@englandmail.com ou à ce numero:00447031856881.
THANKS YOU
Rédigé par : hooster | 14 janvier 2009 à 17:21
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Rédigé par : hooster | 14 janvier 2009 à 17:21
Quoi un anglais en plus!
A FUERA!
MALVINAS FUERAN, SON Y SERAN ARGENTINAS!
Rédigé par : ETDAS | 14 janvier 2009 à 18:34
Bonjour et bravo pour tous les commentaires que je viens de lire.je ne suis pas ( et de loin) aussi fort que beaucoup d'entre vous pour synthétiser toutes les informations que nous recevons de par les differents médias. C'est pourquoi je vous poserai une question à laquelle bien sur j'espere ( il n'y a que ça à faire) recevoir des réponses.
Voilà la crise économique actuelle, va t'elle entrainer un taux de chomage record équivalent ou plus important que le celui enregistré dans la crise de 1929?
En effet, il me semble que par définition une crise économique entraine moins de production et que donc le besoin en ouvriers ou autres travailleurs s'en trouve par la même diminé. Pourriez vous lancer un débat sur ce sujet qui, il me semble est ( ou il devrait l'être) le point crucial pour savoir si nous tomberons dans la presque obligation d'un nouveau conflit.
merci
Rédigé par : FiniFini | 13 février 2009 à 09:22
Ce qui se passe actuellement à Madagascar, c'est un acte de Sarkozy et c'est vraiment vraiment dommage. Il veut reprendre les anciènnes colonnies par tous les moyens, on est Français à Madagascar et c'est le honte totale. Qu' en est-il des droits de l' homme?
Rédigé par : Expatrié | 30 avril 2009 à 08:53
Un congrès s'organise sur le thème de la prédiction en 2010 :
http://www.articque.com/congres-2010.html
Rédigé par : langevindu49 | 30 novembre 2009 à 14:01